La vie est si longue, tellement de choses se produisent que je crois bon de devoir maintenant les mettre sur papier.
Les débuts
Ma vie débuta dans une ruelle avec une sage femme crotté qui aidait ma catin de mère à me mettre au monde. Il ne fallait surtout pas déranger les clients par une chose si futile qu'une naissance de gueuse. Fort heureusement, le joli
Durant la soirée et la nuit, je courrais les rue avec tout les jeunes de mon âge. J'adorais m'amuser a les frapper a coup de bâton, car eux n'arrivaient pas à me toucher ! De jour, je dormais au bordel. vers mes 10 ans, mon père avait suffisamment ramasser d'or pour emporter ma mère loin de cette misère: Triste vie puisque je n'étais pas inclue au voyage. J'arrivai au petit matin et elle avait disparue avec mon brigand de père. Mieux valait donc que je prenne aussi la poudre d'escampette avant qu'on ne prenne dans l'idée de vendre ma virginité à un vieux porc.
J'ai trouver refuge chez un vieux couple de fermiers qui ne disaient pas non à un coup de main avec les bêtes, même si j’étais des plus nulles. Aujourd'hui je comprend que c'est surtout par pitié, mais dans ce jeune temps je me croyais vraiment vital à leur aide.
Cours souvenir sanglant
Annotation: Je dois avouée être peu fière de ces maigres souvenirs.
Du sang, des démons.. Beaucoup de sang. Je crois que j'ai même tuer un cheval, ou quelqu'un.. et bue son sang
Je me rappel d'un démon furieux, m'être fait attraper par la gorge. De la peur, de l'exaltation et du désir.
des masques, des rideaux rouges, des dalles froides et lugubres.
ça a durer un long temps, et j'ignore encore pourquoi j'ai fuis. Mais je crois que ça résume mes maigres souvenirs de cette époque. J'étais jeune, manipulable et je cherchais mon identité..
Protégé par l'acier
Je me rappel de ces cheveux. Bleu, c'était frappant. Je l'aimais, autant qu'une jeune femme peu aimée follement un homme. Je crois qu'il s'en doutait.Ou peut-être pas, les homme sont si maladroit avec ces choses. L'amour de la fin de l'adolescence, on la croit éternelle.
Oui, je me rappelle. Tu rêves d'une ferme avec une femme, remplis d'enfant
Tu t'en rappelles après tout ce temps !
Je t'aime, triple idiot.. Mais il ne le su jamais.
J'ai fini par m’engager dans l'armé. Plus j'y prospérait, plus il s'éloignait de moi. J'ai fini par le perdre de vue, lui, mais pas ces frères.
Puis, haute gradée dans l'armée, avec le temps qui finalement passa, la petite paysanne rencontra l'amour.
J'avais fait de l'armé ma vie, ma pensée, mon mode d’existence. Avec les années suivante, j'ai du apprendre à être une Dame. Car d'aussi base extraction que je puisse être, mon mari est un homme de la haute.
a suivre...