Mort interdite.

[Sarah Desbois, Landolor]

Sa tête s'inclina, ses pensées bousculés.

Facteur Externe : Tensions Ennemies.

Angelus... Kelthor... Valdeck... Xerxès... Xarius... Relioth...
"Mwa mwa mwa" Non, non, je ne retournerais pas avec Lui, non, sans doute jamais, plus jamais, il m'a détruit, je ne peux plus... Je n'irais plus jamais dans cette cambuse...
"Allons, Sarah..." Tais-toi ! Je ne veux pas y aller, je ne peux pas m'y résigner. Tu m'as détruit, et tu le fais toujours. Je ne peux plus l'écouté ''Elle'', Siegrid, la jolie, si douce voix... cette si... Non !! Je ne peux plus, tait-toi, Kelthor !

-Elle apporta une main sur le pomeau de sa dague lentement.-

Facteur Externe : Difficultés Familial.

Cedric... Pourquoi m'ignorer encore ? Pourquoi croire encore que je n'ai tout simplement pas vieilli ? N'y a t'il, dans ton esprit, de place que pour la force, et non la faiblesse ? Pourquoi ne veux-tu donc pas comprendre que même une personne mature, peut souffrir ? Tu t'allis avec Kelthor, tu t'allis à lui pour me torturé, peut-être ne le sais-tu simplement pas...

-Doucement, elle retira la dague de son pomeau, passant son index sur le tranchant.-

Indice frappant : "Ne t'arrête pas à moi".

"Ne t'arrête pas à moi, Angelus, ça ne te mèneras à rien."
[...]
"Je m'en vais."
"Où ? La porte est fermé..." répliqua Frédérick.
"'Sais pas, ailleurs..."

-Une goutelette tomba au sol, une coupure au niveau de son index. La dame acquiesca.-

Indice frappant : Négligeance vestimentaire.

"T'as grossis, Sarah."
-"M'oui, pas si grâve."
[...]
On la voyais, là, appuyé contre la taverne, la mine épuisé. Des cernes entourait ses yeux, démontrant son insomnie. Ses cheveux en bataille ne se retenait que par son bandana noirâtre, mi-noué. Ses vêtements étaient sâli, et sa peau teinté du Charbon de la mine...
-Vivement, Sarah lanca un oeil sur la passerelle menant à où elle était. Vide, parfait.-

Indice frappant : Don d'objets tenant à coeur.

"Éh, Frédérick, tu pourrais prendre soin de mon Ostard ? Ne le laisse jamais seul, nourris le bien... Merci..."

-Elle tourna son avant-bras, prenant sa dague de sa main droite, solidement.-

Indice frappant : Isolement.

Elle était là, toujours appuyé en retrait contre la taverne. Pouvions-nous dire de cela en retrait ? Chose sure, elle n'y bougeait pas. Là, écrasé contre le muret, l'air lunatique. Ses mains s'enfoncaient parfois dans le sol, tracant quelques courbes, l'air ailleurs.
-L'Hérétique appuya le tranchant de la lame contre sa peau pâle.-

Indice frappant : Alcool.

L'on ne la voyais plus, sans une bouteille de rhum à ses côtés, sans pour autant n'être plus ajun. Elle y était simplement, distante...

-Puis elle appuya, tranchant son poignet. Le muscle tranché lui arracha un gémissement, et son bras retomba ensanglanté à ses côtés. Son regard se floua, son corps tremblait de résignation. Puis ce fut le noir...-

[...]

"Pourquoi même mourir, je ne le peux?" murmurra ses lèvres, alors que ses yeux s'ouvrirent là où le sang inondait son siège.

Quelque part en elle, la voix moqueuse d'un Faucheur lui répondit : "Tu es capable de ne rien faire, après tout."

Ses yeux s'embuèrent de résignation, et la Suicidée se releva, nouant un bandage autour de son poignet blessé. Sa tête s'inclina, et ses pas s'enchaînèrent.