La Capture de l'Organisatrice.

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La Capture de l'Organisatrice.

par Milinia Del'Mer, Landolor » 29 Juil 2009, 16:36

    [Pardon d'avoir supprimer! je me suis trompée.

    Voila, je lance le sujet comme demandé, bien que je ne savais si quelqu'un devait le faire avant... J'ai mis ce que je me rappelais et qui a été contact avec mon personnage.
    ]


    Les bras enlacé au cou de son amour, eux se livraient à un jeu sensuel de tentations, tous les plus attirant les uns que les autres. Agacé et à la fois amoureux, ils se dirigèrent avec lenteur dans une tente, sa tente. Le corps de la jeune femme vint se faire apposer tout en douceur sur les fourrures d’ours noir et, alors que Mélamor vint s’approcher pour être près d’elle, un rire éclata d’autre côté des barricades, puis quelques jacassements et, finalement, le feu. Celui-ci commença à prendre la tente ou les deux tourtereaux se redressèrent rapidement, courrant à toute hâte pour trouver eau, avec laquelle ils devraient éteindre les flammes. Mélamor le fit, quand à Milinia, elle voyait rouge. Le beau moment qu’elle passait… Le campement… D’une main hésitante, elle prit son arc, se dirigeant vers le devant de la muraille, là ou la porte barrer ne tarderait pas à céder. D’un pas rapide, la jeune femme alla jusqu’au feu du campement, allumant la pointe de deux flèches, flèches avec lesquelles elle tira en l’air, tentent de toucher le ou les ennemis derrière. Des cris de sursaut se firent entendre, signe qu’il ne devait pas y avoir un, mais peut être deux agresseurs. Le campement, eux? Que voulaient-ils? Tout en tirant flèches, la barricade céda, laissant entrer dans un vent de folie un Orchilion, un Spanius, puis un autre peau rouge. Les deux premiers semblaient fous à première vue, s’en prenant aux tentes, lesquelles ils découpaient de leurs lames. Effrayée, Mélamor tenta en vain de convaincre la jeune femme de venir au bateau, pour prendre le large. Lâcheté, Humiliation, comment pouvait-elle accepter cela, elle qui ne rêvait que de pouvoir, d’or et de renommée? D’un geste peut être fou, elle décocha sur la bête d’Andros, rendant celle-ci folle au point tel de galoper dans tous les sens, hennissant à en perdre la voix.

    Un clik se fit entendre soudainement et les yeux de Milinia se relevèrent sur l’un de ses agresseurs, se figeant complètement, incapable, par la peur, de bouger. Un pistolet à la main, le Spanius semblait avoir une lueur de folie dans les yeux, quelque chose à donner froid dans le dos dirait-on. Une inspiration forte, puis une expiration lourde, les Landolors étaient pris au piège. D’autres balles surgirent, puis des flèches et, finalement, une étoile. Planté dans le ventre de Milinia, celle-ci s’effondra au sol, gémissant de douleur. Une balle vint accentuer la douleur, celle-ci se planta dans le bras de la pirate, n’oubliant pas de lui arracher un hurlement de la bouche. Le sang perlait, la douleur était vive, tellement vive… Au bout de quelques instants, elle perdit connaissance, le mal trop pesant sur son corps, beaucoup trop. Malmenée, échangée, la jeune femme c’était fait ligoté, apposée assise sur un cheval, l’excuse que prétexta le Spanius masqué qui se dirigeait vers le bateau de Celbes était simple : Ma femme est malade, je dois l’amener à un soigneur. Un regard inquiet, puis un hochement de tête, les gardes le laissèrent passer sans plus.



    Attachée aux quatre coins du lit, simplement couverte de ses sous-vêtements, Andros, de son prénom, commença d’abord par lui lacérer la peau, lui gravant bien profondément un G dans la chair, ne manquant pas de faire hurler la belle. Une claque par si, une gifle par la suivirent. D’un geste brutal, il la déshabilla, coupant les morceaux de tissus en lui coupant la peau au même moment. Les larmes qui, plus tôt, n’osaient coulés s’en donnaient à cœur joies, tâchant sa peau d’une petite ligne d’eau sur ses joues. Ils s’en donnèrent même à un acte purement dégoûtant aux yeux de la Landolore, ce qui la fit pleurer des plus belles. Un crachat alla même gicler dans la figure du Spanius, qui lui rendit d’un coup de poing au visage.

    Humiliée, Perdue, Torturée, Seule, où était l’or, la renommée, le pouvoir? Au plus bas de l’échelle, la Del’Mer se surprit à prier Arian de lui venir en aide, hurlant sous chaque coups pour qu’on daigne l’entendre, bien malgré l’emplacement de sa capture… Le Spanius, avant de quitter la chambre, vint tirer dans la cuisse de l’Organisatrice, lui faisant lâcher un hurlement épouvantable de douleur. Que la retenait-elle à sombrer dans l’inconscience? La peur de s’endormir, sans doute, la peur de se réveiller je-ne-sais-ou, ou de s’être fait faire je-ne-sais-quoi…




    [Je n’ai pas suivit la discussion pour l’échange, étant dans la chambre. ( : ]



    Dans les bras de son amour, Milinia pleurait silencieusement, le regard vidé de toute émotion apparente. D’abord triste, puis enragé, elle se laissait néanmoins portée, n’offrant aucune résistance à l’homme qu’elle aimait. Il la soigna, prit soins d’elle, le plus qu’il pouvait, puis, sous les ordres de la femme, l’amena chez la soigneuse. La rage reprenait petit à petit sa tête, tellement qu’elle ordonna à Mélamor de partir, elle ne pouvait le laisser la voir dans cet état. Si basse, si dégoûtante, affreuse si …sale…

    Il était clair, maintenant, que tout était relié. La piraterie n’était nullement fait pour elle, sa place? Elle était en ville. Si elle n’avait pas été au campement, jamais tout cela ne serait arrivé, ses pirates… Tout doucement, un sentiment de colère se prit de son corps, de sa tête. C’était dangereux… Trop dangereux… Son fils, son nom, elle. Le tout lui déchirait le cœur, Mélamor, ou la vie normale… Il fallait lui en parler, il le fallait.



    Cependant… Pour l’instant, la haine habitait son corps, dormait dans sa tête et se réveillerait au crépuscule.
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Re: La Capture de l'Organisatrice.

par Mélamor Alabar, Landolor » 29 Juil 2009, 21:36

sa faute.... tout était sa faute...

pourtant.... la soirée s'annonçait belle, merveilleuse. La chaleur montait entre lui et sa douce, ne vivrait-il pas que pour ces doux moments? Puis... des sons, des paroles... du feu? pourquoi?

L'encien capitaine des pirates des ombres courru sur un bateau attranpant les sceaux d'eau pour les balancer sur sa tente. Ensuite... des coups sur la palissade... elle ne tiendra pas. Un bateau... oui.. comment lui expliquer.... Il ne voulait pas se sauver... il voulait la sauver... mais ne trouvait pas les mots assez rapidement pour lui expliquer qu'elle devait partire seule... qu'il resterait. Il aurait dû... ce fût sa première faute... il n'a pas réussit à l'écarter du danger.

La palissade s'effondre... les enragés entrent.. les pirates font tous ce qu'ils peuvent pour les repousser. Quelques échanges, des escarmouches. Puis quelqu'un la blesse... l'erreur de sa vie. Le pirate abatu sa foudre sur celui qui osa blesser sa douce. Une fois qu'il l'eut mit au sol, il se tourna face au pistolet pointé vers lui. Il n'en fallut pas moins pour recevoir une balle. Il alla répliquer lorsqu'il entendit le cris de sa douce. Il couru vers l'orchilion sauvage qui la tenait. Déjà très affaiblit, il lui tira un carreau d'arbàlethe, s'y en prenant au corps à corps. Le spanius et l'orchilion eurent tôt raison du pirate de plus en plus épuisé. Ils le laissèrent dans son bain de sang. deuxième erreure.... Il n,était pas mort... il aurait du les combattre pour qu'il la relâche... jusqu'à la mort.

Puis il se réveilla. Sans se poser de question il courru, à pied, du campement jusqu'à tradenia. La taverne, oui, il y trouvera de l'aide. Il y entra en trombe, trouvant ses frères d'armes. ILS ONT MILIANA!. en quelques secondes, tout le monde était dehors, à courire vers El jerguista. La vengeance se devait être terrible. Les chemins empruntés furent tous différents. Dans son élan, Mel ne pensait pas au bateau... toujours à pied, il courru de tradenia à El jerguista.

Il entra en trombe avec un compagnon dans la bâtisse où sa douce était retenue. Heureusement pour lui, les autres étaient déja là. Il montait l'escalier. Ludo tenait un spanius, lame sous la gorge, les armes étaient pointées. Ludo demanda les pour parler. Il donna donc l'hotage à Mélamor, qui était bien moins négligeant que son camarade. Sa lame était serrée contre le cou du spanius. Un mouvement, il serra encore plus. Enfin, un ennemi proposa l'échange de Miliana contre le pauvre spanius en hotage.

Lorsqu'elle sorti de la chambre, il fût frappé. Ses blessures.... À quoi ont-ils pensé? Son visage... son visage exprime bien plus que ses blessures..... La rage montait en lui il voulu les tuer, tous sans exceptions. Les faire souffrire. Non ça ne servirait à rien... on ne reviendrait pas en arrière... garde ton calme... l'important, c'est Mili...

Il approcha avec son hottage, échangeant Miliana contre celui-ci, il vint vite la protéger de son bouclier.

RESTEZ AVEC LUDO! Puis le pirate parti rapidement avec sa belle, la couvrant, sans mots. Il l'emmena à sa tente. La demeure qui devait voir naître une scène d'amour sans fin, connu les atrocité qu'elle a pue vivre.

Il arriva devant la porte du campement. Embêté par le moyen d'ouvrire la porte, sans déposer sa douce, il flanca un coup de pied robustre dans celle-ci. Alors qu'il marcha vers sa tente, tandis qu'un matelot s'affaira à réparer celle-ci. Il la guérit, très habilement. Aucune marque physique ne paraîtra d'ici quelques semaines, résultat de ses longs voyages. Seulement, et il s'en rendit compte, une blessure bien plus profonde la hantera longtemps, et celle-ci ne fût pas faite par une arme. Sa faute.... tout était sa faute..

Elle lui demanda de l'apporter chez la soigneuse de Tradenia, il ne lui refusa rien. Il la reprit dans ses bras puis quita la tente. Le matelot qui réparait la porte eu tôt fait de lui ouvrire la porte pour s'éviter les foudre du second. Il marchait d'un pas rapide vers Tradenia.

Une fois arrivé chez la soigneuse, il la déposa dans une chambre et alla voir l'infirmière. "Peux-tu l'aider?". À la seule question qu'elle lui posa, il répondit : "Je l'ai laissé tomber...."

Puis il retourna prêt de Milinia. "elle prendra soin de toi.. tu es en sécurité.."

Sa douce vint finalement porter son regard vers lui. "Laisse-moi seule". Il reçut ces paroles comme une balle dans le coeur, une lame qu'on tourne dans la plaie. Il quita, se retourna une dernière fois. " je... suis... désolé... Milinia..."

Il sorti de la bâtisse, plus abatu que jamais. Ses camarades tentaient de le réconforté. Il retourna finir sa soirée à sa tente, où tout avait commencer... à deux.... et où tout se finissait.... seul...
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Re: La Capture de l'Organisatrice.

par Aldario Montego, Spanius » 30 Juil 2009, 14:59

Ressortant d'une des tavernes d'El Juerguista après un petit somme, le Spanius, remarquant des hommes armés galopant à toute allure dans la ville marcha lentement vers la banque. Il laissa tomber ces cavaliers qui semblaient furieux, hurlant à tue tête le nom d'une "Milinia", ne voulant pas en provoquer un. Alors qu'il s'assoyait sur un des bancs du parc devant la banque, son ventre gargouilla. Avec une grimace, il se pencha pour fouiller dans son sac à ses pieds, se redressant avec une grosse pomme bien juteuse. Il fut accueilli par une lame à quelques pouces de sa face. Laissant entendre un soupir il leva les yeux, voyant un homme en armure de plaque tenant la lame, assit sur une sorte d'oclock. La couleur de peau qu'il réussit à voir sous le casque lui laissant deviner de quelle race il s'agissait.
-"Qué tou mé veut?" demanda Aldario, l'air encore un peu fatigué de sa sieste.
-"Milinia, où est-elle?" cracha le Landolor tel une bête enragée.
-"Dé... Qui tou parle là?"
-"Apporte moi à elle."

N'ayant pas participé à la capture de la femme dont il parlait, Aldario n'avait aucune idée d'où elle pouvait se trouver, mais il décida de se diriger vers la taverne à l'est d'El Juerguista, y trouvant ceux tenant Milinia captive. Ne voulant que retourner à ses occupations, Aldario partit pour ouvrir la bouche et dire "Bah les voi-" mais ses paroles furent interrompues par une lame glissée sous sa gorge, celle du Landolor qui lui avait demandé de les aider.

Un peu trop préoccupé par la lame qui était tenu serrée à sa gorge et une faim grandissante, n'ayant pas mangé depuis le matin, Aldario écouta à peine ce qui se passait autour de lui. Après une dizaine de minutes ainsi, il senti la pression contre sa gorge se retirer... Pour être remplacée par une autre pression, d'une arme plus petite cette fois-ci. "Ah mais poutane..." dit-il en gromellant, espérant être relâché d'ici peu.

Quelques minutes de plus passèrent et il vu la captive sortir de la chambre, dans une piteuse état. Que lui avaient-ils fait? Quelles horreurs avaient-ils fait vivre à cette femme? Il n'aurait pas pu croire ce qu'il voyait devant lui, à peine à quelques pieds de lui. La lame se resserra quelque peu contre lui, un peu plus haut que son gorget.

Les négociations passèrent, Aldario fut relâché, n'ayant pas vraiment porté attention aux dites négocations. Il sorti de la taverne discuter à la mare.



Cette nuit là il passa plusieurs heures à se préparer dans sa chambre devant un miroir, enfilant une longue soutane blanche ainsi qu'une cape et des gants d'os. Il s'assura également que son maquillage était presque parfait. Il se devait d'aller voir si la femme qui avait été prise en otage avait commencé à se rétablir de tout cela. Il se rendit donc à Tradenia en bateau, déguisé en bourgeois Landolor. Il ne l'aperçut que pendant quelques minutes dans la taverne avant qu'elle ne quitte.

Le Spanius apprit donc par la suite de ce qui était arrivée à Milinia de la bouche de Sarah, n'ayant jamais cru que des Spanius puissent être si cruels envers une simple femme. Ils discutèrent pendant un moment, et il s'introduit comme étant Aldare Montaigre. Son maquillage se mit à couler après près d'une heure. Il se précipita à une des chambres de l'auberge, interrompant la conversation qu'il était en train d'avoir avec Sarah, lui donnant comme excuse que le rouge qu'il avait au visage était une maladie de la peau, oubliant son sac avec le maquillage en bas, près de la table. Après avoir retiré son maquillage à l'aide d'un petit linge, il réalisa qu'il avait laissé son sac avec ses outils de maquillage en bas. Comment avait-il pu être si sot? Il passa un bon moment dans la chambre de la taverne de Tradenia à marcher en rond nerveusement, cherchant une possible solution, jusqu'à ce que Sarah vienne cogner à sa porte pour s'assurer que rien ne lui soit arrivé.

"Oh, j'ai oublié mon sac avec ma médication en bas, vous seriez un ange d'aller me le chercher!" cria-t-il de l'autre côté de la porte fermée. Avant qu'il n'ait pu continuer ce qu'il disait, Sarah était déjà rendue en bas lui chercher son sac. "Je vous prierais de le déposer devant la porte, ce serait merveilleux!" dit-il, mais elle ne l'entendit point, donc elle entra dans la chambre qui n'était pas barrée pour lui livrer son sac, voulant s'assurer de l'état du faux-Landolor en même temps.

Surprit, Aldario couvrit son visage rouge de sa cape, tournant le dos à Sarah. "Oh, merci, vous êtes un coeur! Pourriez-vous partir, je détesterais que vous me voyez dans un tel état!" dit-il la cape levée un peu pour cacher son visage, feignant une maladie de la peau apparemment grave. Mais Sarah ne partit pas, remarquant le petit chiffon recouvert de maquillage beige.

Puis il sentit la deuxième lame de la journée se glisser contre son cou...


[Un peu court je crois, mais bon, ça résume bien les événements de la journée pour Aldario. : )]
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Re: La Capture de l'Organisatrice.

par Sarah Desbois, Landolor » 31 Juil 2009, 02:04

Elle plaquait Aldario contre le mur de la chambre, la venimar glissé près de son cou, menaçante. C'était vêtue de toute son armure cuivrée que la femme faisait mur. Un Spanius osait se montrer ici ? Après de tel soucis, après de tels tourments pour Milinia ? Son regard bleuté étaient teinté de haine et de rage, alors qu'elle adoptait encore plus de pression contre un Aldario bafouillant. Derrière la porte, des éclats de voix, le mousquetaire à l'entrée. Le tout tombait bien, ça forçait l'homme à se tenir sans le mot, ou bien calme. Quoi de mieux, une guerrière rancunière ou un mousquetaire avec les clefs de geôles ?

La question ne se posait pas. Aussi, la discussion se passa sans entraves, murmures contre l'oreille du Spanius tremblant, répondu par brefs bredouillements.

- Qui sont les Spanius impliqués ? Réponds ! persiffla la Pirate à l'oreille de l'homme, adoptant une petite pression de sa lame contre son cou.

- C'estas.. c'es... même s'il bredouillaient, les noms finirent par fuir ses lèvres, satisfaisant la dame qui relâcha mincement l'étreinte.

La soirée se solda relativement bien pour Aldario, qui put sortir sans entrave de la chambre, fraichement remaquillé avec une Landolor sur les talons. Pour Sarah par contre, l'insomnie la gagnait. Sur, elle avait acquis le nom des Spanius fautif à force de menaces, mais le souci était toujours présent et pressant. C'est étendue sans sommeil aux côtés de Marcorel que ses traits se fronçait, que les ficelles se démêlaient. Son regard était dirigé vers le minois assoupis de son amoureux, les songes égarés. Que devaient-ils faire, quand, comment et de quel façon ? C'était le souci de l'équipage, et non pas de Tradenia. Cette fois-ci, ils n'auraient pas l'aide de son oncle...

Il devenait prioritaire de venger la Del'Mer...

Du coup, le lendemain, nous retrouvions Sarah, Marc, Aldario et Juan dans un sous-sol miteux qu'on-ne-sait-ou. Les deux landolors étaient munis de leur armure cuivré, humecté pour tous les deux d'un sang rougeâtre. L'un des deux Spanius, lui, était enchaîné dans une cellule, le corps suintant de sang et d'ecchymoses. Un peu plus loin siégeait le second spanius qui sirotait sa bouteille de vin, silencieux.

- Tu es réveillé... ? Ah bon ! Donc je reprends... Vois-tu, on ne s'attaque pas à l'équipage sans répercussion. Vu tes gestes posés à l'encontre de Milinia, tu auras la dite répercussion. Je ne peux pas torturé un innocent, donc il me fait chaud au coeur que tu t'ai avoué complice. Par contre, j'aimerais fort bien que ceci reste entre nous. Pas besoin de se faire du mourant, han ? Elle a eu mal, tu auras mal, la juste chose.

La simple réponse fut un crachat et une série d'injure. Ce ne démotiva pas la Desbois, qui enchaîna.

- Donc maintenant je me demande simplement ce que je pourrais te faire subir. Va sans dire que tu seras surement pas violé, j'ai pas trop le goût, vois-tu ? Vous auriez pu trouver plus original, pour Mili', il a tellement mieux à faire !

- Onne à fait autre chose, tou sais. Lâcha t'il entre ses dents, un sourire malin qui traçait ses lèvres

- M'ah, quoi ? Raconte !

Et il énuméra ; Coups, balles, étoiles, entailles, marques, viol...
Et il reçut ; Coups, balles, étoiles, entailles, marques, fouets...

On voyait désormais un Juan affaissé mollement contre le mur, ayant peine à se tenir sur ses pieds entaillés. Un Marc avec le sourire aux lèvres, l'armure ensanglanté. Un Aldario chuchotant à l'oreille d'une Sarah songeuse... Le supplice avait prit fin, mais il restait désormais une partie du marché à honorer. D'un regard entendu vers le pirate et le Montego, la pirate se glissa à l'intérieur de la cellule, accordant au Spanius un vif coup de génocide enduite de poison contre son épaule. L'effet fut progressif. Pendant que le poison commença à s'étendre, un Spanius dégainait et assommait un grand guerrier fort entraîné. Pendant que le poison parcourait ses veines, le même Spanius assommait la pirate d'un mouvement similaire. Pendant que le poison gagnait la victime, celui-ci vue ses liens détachés. Pendant que le poison vint rendre inconscient le torturé, les deux spanius quittèrent les lieux.

Mais en ouvrant les yeux dans une pièce vide de tout prisonnier, la Landolor murmura, agacée : Quel plan stupide... Propos approuvés par un Marc chancelant, une main contre sa nuque, migraine horrible... On aurait pu être faussement attachés, plutôt... renchérit-il, grognon.

En effet, on aurais pu. Elle n'imaginait même pas la tête de Marcorel, en la voyant aussi amochée. Déjà, elle prédisait l'oeil au beurre noir... Ça, pour l'esthétisme, c'est à l'eau !
Raffinons-nous un brin. Juste un tout-petit brin. On a les moyens !
- Corsaire nobliette recyclée
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Re: La Capture de l'Organisatrice.

par Andros Gonzalez, Spanius » 31 Juil 2009, 11:51

Le démon rouge passe à l'action...

Il fixa ses camarades confortablements assient sur les bancs à la marre de El juer, l'ennuit était quasi totale en ces temps si paisible...Bref, tout pour déplaire à Andros, qui ce dernier, préférait de loin quand sa bougeait ! Bref, le calme rêgnait à El juer, Andros sorti sa pipe de sa poche afin d'y écraser quelques feuilles de tabac bien choisit quand un éclair de géni vint le frapper !

Quelques instants après, Juan, Vol ainsi que lui-même discuturèrent d'une possible attaque sur le camp non loin des contrées de l'empire uni qu'était la ville de Celbe. Ce camp les intriguaient au plus haut point il va s'en dire ! Néanmoins, les deux spanius ainsi que l'orchilion les accompagnant essperaient dénicher quelque chose se remplire les poches ! Mais non ! Au lieu de cela ils tombèrent nez à nez avec les occupant de ce camp...La poisse !

Ils n'avaient donc pas le choix...C'étais eux ou ces pirates ! Et Andros ne comptait certainement pas y laisser sa peau ! Mais se fut lorsqu'il su que le camp ne contenait rien de bien précieux, que le spanius s'enragea. Il n'était pas pour partire les mains vide ! HA CA NON ! Or...Il n'avait d'autres choix que de prendre la personne qu'il jugeait la plus faible entre les deux...L'organisatrice royale ! Il ne savait décidément pas à qui il avait à faire mais cela ne l'empèchait guère de l'extirper des mains de celui qu'il croyait être son amoureux...Qui sait ? Mais bref, l'assaut fut courte, le trio fut repoussé mais à quel prix ?

Ils dédicèrent de ramener la prisonière à El juerguista, où ils procédèrent à divers torture et autre suplice...Jusqu'au moment ou toute la troupe était débarquée...Littéralement, ces landolors en avaient dans le nez pour se pointer à El juer ! Andros, pris de panique, laissa la pauvre femme martyrisée pour s'occuper de ces invités indésirables. Mais néanmoins, suite à une loooongue discution que Andros n'appréciait pas trops, ils décidèrent d'échanger les prisoniers...Car oui ! Ils avaient un prisonier ! Aldario Montego ! Il s'était fait prendre comme un débutant ! Lui, le plus grand chasseur d'el Juerguista, s'était fait prendre à son jeu mais néanmoins Andros éprouvait de l'empatie envers cet homme qu'il jugeait son ami et n'accepta pas le fait qu'ils se servent de lui comme monaie d'échange...Arf...Quelle sale journée pour Andros !

Mais cela ne s'en limtera pas jusque là, hooo ca non ! Il comptait bien frapper plus fort la prochaine fois..
[centrer]*Une balle, un mort...*[/centrer]
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Re: La Capture de l'Organisatrice.

par Vandala Rose, Landolor » 01 Aoû 2009, 01:38

Assise à la taverne de Tradénia, Vandala essayait de faire abstraction de la voix agaçante de l'Organisatrice royale. Soupirant fortement, toujours bien déçue de voir celle-ci se pointer partout où elle allait, Vandala terminait tranquilement un petit verre. La jeune femme à la chevelure dorée qu'était Vandala avait bien remarqué Milinia se promener ici et là en se plaignant avec son bâton. Blessée? Tien, cela n'était pas étonnant ces temps. Quoi qu'il en soit, Vandala restait calmement assise à la table sans placer mot. Comme c'était ennuyant et désagréable par moments cette taverne!

C'est alors que Sarah arriva et posa une drôle de question:
- Vous faites quoi tous séparés comme ca?

Sourcillant simplement, Vandala haussa brèvement les épaules en répondant qu'elle était confortablement installé à cet endroit bien avant qu'arrive les autres.

Repoussant d'un revers de main son verre vide devant elle, Vandala observa tout le monde se joindre à sa table. Elle y cacha bien son ennui profond pour ce petit regroupement toutefois. Faire la paix? Il n'y avait rien à pardonner. Elle ne supportait simplement pas la présence de Milinia. Depuis quand était-on est sencé apprécier tout le monde de toute manière? pensa Vandala en silence. Cela ne lui rapportait absolument rien de cotoyer l'Organisatrice de toute manière alors pourquoi faire des efforts en vain?

Vandala se releva donc de la table afin de se sauver de cette ambiance désagréable... avant de s'assoir à nouveau à cause de Sarah qui tirait sur sa cape. Lassement, Vandala recroisa ses fines jambes sous la table. Elle ne portait pas grande attention aux dires des autres, mais Sarah remarqua que Vandala n'était aucunement au courant de ce qui s'était passé avec les Spanius.

Se retournant vers Vandala, Sarah lui dit:
- En voilà une ici qui n'est pas au courant?

Au courant de quelque chose concernant Milinia? Sûrement pas en effet mais Vandala ne chercha pas non plus à savoir. Elle quitta simplement les lieux pour retourner à sa tâche qu'apparemment personne ne connaissait. Et oui, elle avait mieux à faire que de traîner dans une taverne. La pause était terminée, au travail maintenant. Sur ce, elle sortit de l'endroit avec un sourire en coin sur ses lèvres, la tête haute.
Dame Vandala Flamberg, Chevalier de Tradénia
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Re: La Capture de l'Organisatrice.

par Milinia Del'Mer, Landolor » 01 Aoû 2009, 05:15

    « Je suis fatiguée de jouer à la poupée en robe, Sarah… » Avait murmurée la jeune femme dont le poids sur les épaules ne cessait de s’accroître depuis quelques temps. Lorsque ce n’était pas vis-à-vis son travail, c’était des batailles verbales avec Vandala, une capture, des tentatives vaines de remonter dans l’estime de certain ; de changer de nom, même.

    Del’Mer, pourquoi devait-elle hériter de ce nom si … Pirate si… Elle?

    Les discussion, ce soir, dans l’intimité que leur donnait quelques ivrognes, des femmes désireuses et un fracas de bouteille de temps à autre dans la taverne semblait relevé le poids sur les épaules de la Del’Mer qui, petit à petit, regagnait le sens de l’humour. Fatigué de jouer à la petite bourgeoise? C’était si simple, il suffisait simplement d’arrêter. Abandonner un titre royal qui ne lui revenait en aucun cas, abandonner ses robes, bien que belles, étouffantes. Ce ton de voix, aussi, il fallait tout changer, tout retirer; si Sarah était capable de vivre comme elle le voulait, pourquoi est-ce qu’elle, elle ne le pourrait pas? Qui plus est, après une bonne réflexion, Milinia et Sarah semblait être un peu trop … Pareil ? Si. Même amants, mêmes goûts vestimentaires, même humour, même … « Tu auras un deuxième enfant, Sarah. » « Tu auras la marque hérétique brulée sur la nuque, Mili ! »

    Ha.. Ha.

    Peu de temps après, l’Organisatrice avait vidé son bureau, non pas sans peine, ce à quoi elle renonçait, présentement, était gros, très gros. Mais elle n’était pas faite pour jouer dans la cours des bourgeois, nobles, qu’importe. Peut être que la place d’une Del’Mer était réellement dans ses propres principes ; aussi bornés puisse-t-elle être. Aucun retour en arrière n’était possible, elle le savait bien. Mais qui s’en soucierait? Qui savait réellement que la Del’Mer était barde, et que c’était pour cette raison qu’elle avait été accepté entant qu'Organisatrice Royale? L’artisanat, l’Archerie, la Musique et un peu de piraterie tant qu'on y est, voilà dans quoi elle voulait se lancer, maintenant.

    Les clefs avaient étés rendues, la lettre de démission écrite et le bureau vidé. Maintenant, il fallait se venger, n’est-ce pas ? Chaque chose en son temps, et maintenant, après une brève bavarderie dans la taverne aux petites heures du matin entre trois jeunes femmes qui … Faisait peur à voir, avec leur conversation, tout allait bien aller.



    Vandala et Milinia ne s’était-elles pas réconciliées?
    Si, alors tout était possible.

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