Drole de colporteur..

[Fanie Tirius, Landolor]

"Pas de colporteur", c'était bel et bien ce qui était écrit sur l'affiche de la maison de Fanie Tirius. Pourtant, ce jour la, elle-même elle n'avait pas suivit l'indication de sa propre pencarte.

Toc toc toc

-Oui ? dit'elle, en ouvrant la porte.

Et c'est la qu'elle le vue, lui, Jean Duloire, un simple Landolor qui vandait des barils de vins. Bien qu'elle lui dit qu'elle n'accortait pas de son temps aux colporteurs, l'homme, par sa bonne humeur et son indrigue, réussie à rentré dans la demeure avec son baril de vin. L'homme jouait parfaitement son rôle de vendeur, si bien qu'il vendit même le tonneau à la Landolor pour la modique somme de 300 écus. C'est la que le choses se gatèrents..

-Merci à vous ! commenca l'homme. Vous vous méritez même ce cadeau en surplis !

-Ho vraiment ! et quoi donc ? répliqua Fanie, enjouée et heureuse de son achat.

Le colporteur lui tourna le dos pour fouillé dans son sac. Fanie le regardait faire, exitée de voir ce que l'homme lui donnerait de plus. Évidemment, jamais elle ne se serait attendut à ça.

Tu t'es faite avoir, pauvre conne ! lui hurla t'il au visage avec un drôle d'accent, en l'a pointant de son revolver.

Inconciemment, le reflexe de la Landolor fut de reculer d'un pas en laisser filer un "et merde.." d'entre ses lèvres. L'homme retira son maquillage et retira ses habits de vendeurs. Ce fut un homme à la peau rouge et visiblement sur de lui qui fesait maintenant face à Fanie. Il l'a fit reculer contre le mur et l'a fit se désabillée. Évidemment, il lui pointait toujours son revolver dans sa direction, impossible de jouer au héro dans ses circonstences.. elle fit donc tout ce que le Spanius lui demandait, avec néamoins quelque hésitations, ce qui lui vallut une belle giffle à la figure. Finalement, après lui avoir attachée les pieds ensembles, le Spanius traina la femme vers la table et l'attacha contre celle-ci.

-Tu aimes boire, han !? Alors tu vas boire !! Cria t'il, toujours avec son accent de Spanius.

Puis, avec le manche de son revolver, il éclatta la valve du tonneau. De sa main libre, il garda la bouche de Fanie grande ouverte, ce qui était plutôt facile vue qu'elle était attachée de partout, et de son autre main, il pointait la Tirius de son fusil. Le vin éclaboussa partout, parterre, sur ses vêtements et surtout dans sa bouche. Après seulement quelques secondes, le barri était vide.. et Fanie était complètement ivre..
C'est à se moment que Andros, toujours en riant d'aventage, changea son revolver contre une petite dague. Il s'approcha de l'inerte, puis, lui grava un G qui lui prennait une bonne partie de son ventre. ensuite, il tua simplement l'animal domestique de la Landolor, puis quitta en riant de plus bel, en reprennant son baril vide.

C'est Damien, un jeune Landolor Mousquetaire, qui trouva Fanie ainsi.. après l'avoir détaché et l'avoir amener dans son lit, il lui épongea le sang. Fanie, tant qu'à elle, ne semblait en aucun cas souffrir. Était-ce tout simplement à cause de l'immense quantité d'alcool qu'elle avait avalée..
Finalement, à force de laver le sang sur elle, il vit le G graver sur Fanie.

Encore ce fou..

Puis il se releva, s'assurant que Fanie était hors de danger, puis quitta la maison de la Tirius.
C'était la deuxième fois que le même Spanius frappait, dabord Milinia, ensuite Fanie.. était-ce donc une coincidence ? Ou y avait'il vraiment un nouveau méchent à craindre..?

[Aldario Montego, Spanius]

Après avoir entendu de la bouche d'Andros lui-même qu'il revenait d'avoir torturé et volé une Landolore, Aldario s'excusa pour aller aux toilettes.

Quelques heures plus tard, Aldare Montaigre débarquait du bateau de Jack à Tradenia...

[Vandala Rose, Landolor]

Ce Andros... s'attaquer à deux femmes que Vandala appréciait bien... mauvaise idée?
Sans aucun doute!
Les oreilles toujours à l'affut de nouvelles rumeurs, Vandala resterait à la taverne un moment... le temps que germe dans son esprit un plan?
Cela était inconcevable qu'elle tolère ce genre de choses plus longtemps.

[Andros Gonzalez, Spanius]

Le retour à El Juerguista était bien apprécié, le spanius était épuisé ! C'est vrai ! Sa demende beaucoup d'imagination pour faires de tels trucs ! Néanmoins, une fois de retour, il tomba nez à nez avec Aldario ainsi que son neveux Juan Gonzalez. Andros expliqua à ces dèrniers les fâcheux traitements qu'il avait affliger a cette landolor et comment il avait pu l'embobiné. Sur le coup, Alda décida de faire un petit tour de lama quant à Juan et Andros, les deux prirent la route vers la taverne Ouest d'El Juerguista.

Une fois à la taverne, ces derniers discutèrent de tout et de rien...Jusqu'à se que Andros fit part de ses réelles intentions à son neveux...

-Tou sais Juan...Él es temps por los Gonzalez dé cé fére oun nom ! Él es temps por nos...Dé fére valoir notré nom ! Té ! Mé ! Carlos ! Él es temps dé fére notre place parmis los grandés !

Juan, quelque peu réticent face à cette idée, détailla son oncle quelque peu perplexe se demendant sourtout comment faire. Mais néanmoins, ce fut d'un sourire en coin que les deux se regardèrent et Juan fit part de son grand soutien pour se qui adviendrait par la suite...

Les Gonzalez ! Alliés ou menace ?!