El Viento De Los Gonzalez

[Andros Gonzalez, Spanius]

El Viento...Sale ville qu'en était à la base...Les shérifs se succédèrent au gré de la volonté des criminelles notoires déjà bien établis. Les chefs et dignitaires Spanius s'en livraient tantôt a des jeux tordus et d'autres saoulons s'enivraient d'alcool et de femmes. Le vol et les meurtres y étaient choses communes vraisemblablement. Ce que El Juerguista s'en ventait d'y conserver un certain code d'honneur, El Viento s'en lavait bien sûr les mains depuis l'indépendance de celle-ci.

Tard, il en fut entre les mains de la famille Fuentes. Lors de la discorde spanius opposant de nombreuses familles, ceux-ci en avaient littéralement changer la face de cette dernière. Assurant un certain ordre au sein de la populace, les Fuentes avaient certes bien d'apport à la communauté.

Puis...Le Cataclysme arriva et la famille Fuentes, comme tant d'autres s'en était lié aux priorités du peuple Spanius jusqu'à laisser El Viento à son triste sort. Depuis, la ville regorgeait de criminels, se contre-foutant littéralement des moeurs et coutumes, voir jusqu'au code d'honneur des spanius à s'en suivant de la nomination du nouveau parrain, le dénommé Aldario Montego.

Ce ne fut que quelques années plus tard qu'une autres familles tout aussi peu recommandable y fit son entrée sur cette scène tourmentée...

Arrivant à galops, pistolets à la main, deux frères brandirent ensemble les tires sur qui oserait ainsi contester l'ordre qu'ils verraient dès le levé de l'aube imposé aux piteux habitants de la communauté éloignée. Les cadavres de pistoleros encombrait dès les instants de la fusillade le sol terreux de la petite ville, le sang venait donner teinte au sable et les montures prit de peur s'étaient libérés de leurs emprises à leurs maîtres qui croupissaient au sol, la vie les ayant laissés.

Le calme revint finalement...Les scrupuleux habitants rouvrirent les fenêtres, sortirent des établissement pour constater le chaos désormais au point d'une morbidité absolue, de ce chaos, deux hommes se tenaient encore debout au milieu de la ville. La fumée encore soufflante et pesante, le plus sombre vêtu des deux s’avança ensuite vers la foulée pour y prononcer les mots qui resteront encré dans le crâne de ces déchets non-conformes.

-Gens dé El Viento ! Auyourd'houi, oun nouvel ère coummence por vos ! Votre honneur séra rémis ! Dès auyourd'hui ! Vous vous conformérez à la bonne voulonté dé El Juerguista ! Dès lors ! Moi y moun hermano veillérons à cé qué vos vies vos soient rémises enne bonne joustice ! Dès lors nos sérons vos protecteurs ! Qué los cabrones crèves sous la yustice spanius ! Car auyourd'hui...Pérsonne d'autres...PÉRSONNE ! Né viendra plous pértourber vos vies...

Les deux frères se retirèrent donc sur ce discourt, laissant les habitants plongés dans un doute sans réponse...Allaient-ils respecter leurs engagements ? Ou serait-ce là le début d'une dictature ? Les habitants honnêtes semblaient se réjouir et d'autre non...À même titre que les larrons et les brigands qui eux, semblaient plutôt prit d'une crainte non pas pour leurs opérations...Mais bien pour leurs vies proprement parlant...