Les Regrets du passé

[Rosalie Persevent, Landolor]

Durant une belle journée ou le soleil illumait chaque demeure, Rosalie Persevent marchait à l'extérieur. Elle admirait le paysage blanchâtre que la neige produissait, l'air jovial et paissible. Malgrès cela, on aurais pu croire que Rosalie avais une malédiction pour que jamais elle ne puisse avoir le sourire, heureusement que William existait pour la sortir de l'ombre à chaque fois ainsi que l'archimage, M'enfin bref... Durant sa marche, un petit garçon la suivait de derrière. Tel un être naif qui ne désirs qu'être informé sur quelque chose, il fixait les mains de Rosalie. Cette dernière, évidament et après quelques rues, se rendait compte de la présence du petit curieux. Elle se retourna pour lui demander ce qu'il voulait et il lui répondit finalement:

Dame, pourquoi moi j'ai 5 doigt dans chaque mains et vous seulement 4 ?

Surprise par cette question, son regard s'abaissa sur ses propre mains. La jeune dame savait qu'il n'avait aucune mauvaise intention mais un long soupire s'échappa d'entre ses lèvres. Suites à cette question, Rosalie se remémora rapidement de son passé qui avais entrainé la coupe de ses deux pouces. Sans répondre à ce gamin qui restait toujours devant elle en attendant impatiament la réponse de Rosalie, elle ne dit rien et s'évapora dans l'air...

Il était certain que son passé la blessait mais elle resta forte, pensant à tout le bien qu'elle fait depuis un bon moment et à tout celui qu'elle continuera à faire malgrès les obstacles qui arrivera dans le futur.

[hrp]Je sais que c'est nowhere et sans but mais il est tard je suis fatigué et je m'ennuyais alors sa ma juste tenter d'écrire un petit quelque chose avant d'aller dormir Bonne nuit la![/hrp]

[Rosalie Persevent, Landolor]

Un autre évênement tragique vint perturber d'avantage la jeune mage lorsqu'elle était à la taverne de la Haute Tradenia. En effet, Rosalie avait discuter avec le moine, Renhart Sirius l'où elle lui avoua d'avoir été créer Hors du mariage. Les mots que se moine lui dis par la suite, lui hanta le fond de ses pensées...

Vous êtes donc une plaie ma chère, vous ne devriez pas être en vie.

Ses paroles résonnaient indéfiniment dans sa tête comme un échos. Elle repartit avec l'envis de déverser ses larmes suite à ceci. Qu'allait-'il lui passé par la tête ? Ne pourra-t'elle donc, jamais, avoir la posibilité de fuir son passé ? Peu importe, Rosalie partit pleurer à la salle magique, seule dans la nuit..